Illustrer

Qui qui s'est fait un coupe papier 
Avec l'épée d'Ivanhoé ?

Vous avez dit illustrer ?

Dans illustrer il y a le mot « illustre » et à la suite de l’adjectif « illustre » on trouve automatiquement le substantif « inconnu ».

Ils vont de pair. Inséparables. Et c’est donc en amoureux des trains d’autrefois qui arrivaient à l’heure et avec lesquels je prenais parfois – au hasard – des destinations inconnues que j’ai décidé de regrouper ici, sur ce site perdu dans l’immensité du web…  , la présentation de mes travaux d’illustration, commandes heureuses et bienvenues. Je les sépare désormais de mes prestations de maquettiste,  quand elles n’accompagnent pas  le travail de l’illustrateur.

Voilà c’est dit !

 

 

Une précision, et de taille, il n’y a pas d’illustration sans connivence et confiance…

... avec les auteurs des textes ou des musiques et chansons pour lesquels je déploie crayons, pinceaux et autres outils. Pire encore, plus le temps passe, plus il faut associer ma prestation à une carte blanche… certes agrémentée, in fine, des retouches que peut réclamer le commanditaire… Mais à la condition que ce dernier ait réalisé qu’il a passé commande à Paul Coudsi… Qui a la fâcheuse habitude de faire du Paul Coudsi, illustre ou pas…

Chacun trouvera, ou ne trouvera pas, dans les sous-menus de cette rubrique, sous-menus sans soulographie se tenant haut et de hautes tenues, une liste presque exhaustive de mes travaux épisodiques et hors saison d’illustrateur par ailleurs encore trop illustrement inconnu.  Illustrations commencées à la fin des années 70, il faudra attendre que je sorte ces dernières-là des placards, si je les retrouve, et illustrations à peines terminées la semaine dernière pour un nouveau recueil de poésie de Simone Rivier… à découvrir dans quelques temps, donc, en prenant l’escalier et le couloir qui mènent dessous cette rubrique…

Et pour conclure, parce qu’il ne faut pas désespérer de l’utilité du grand World Wide Web… et  en paraphrasant Alexandre, non pas le grand qui cachait le soleil à Diogène, ni celui de Nino qui a mangé les cornichons, mais Alexandre le poète de la Montagne, je dirais donc « et c’est ainsi qu’Internet est grand ! ».

Publié par Paul